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Ressources
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First Man Biopic

A new film, First Man, released a few months before the 50th anniversary of the Apollo 11 Moon landings gives an opportunity to look back at a discreet man who marked 20th century history. You can use this resource with Shine Bright 1re File 1, Biopics in Hollywood.

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James Baldwin: Love in Harlem

The 2019 film adaptation of James Baldwin's novel If Beale Street Could Talk, a love story set in 1970s Harlem, makes an excellent complement to Shine Bright 2de File 1 "United Colors of Harlem" or Shine Bright 1re File 8 "African-American Art" . This video can be used in class to introduce the film and Baldwin.

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Sélection culturelle

Staging the Brontë Sisters

Charlotte, Emily and Anne Brontë were wonderful storytellers, but their lives have fascinated generations of audiences almost as much as their books. The play "Brontë" by Polly Teale combines their biographies and their fiction. We talked to Barry Purves, who directed a recent production.

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Rendez-vous

May Leaves

British Prime Minister Theresa May stepped down as leader of the Conservative Party on 9 June, starting the process of electing a new leader, who will take over as Prime Minister.

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Rendez-vous

On the Ball

The eighth FIFA Women’s World Cup will be held in France from 7 June to 7 July. Women’s football has come a long way since the inaugural tournament took place in China in 1991. And the players are beginning to demand closer pay and status to men’s teams.

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Tolkien the Storyteller

JRR Tolkien’s stories of Middle Earth, hobbits, wizards and dragons have captured the imagination of generations. A new film looks at his experiences of friendship, love and war as a young man, and how they may have influenced the man and work.

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Save the Date: Exhibitions for September

Self-portraits in Lille and the Golden Age of English Painting in Paris. Get ahead of the crowd by signing up now for class visits for exhibitions opening in September.

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Sélection culturelle

Dark Phoenix: back to black

While it may be the last film of the current X-Men movie franchise, Dark Phoenix is also shaping up to be the absolute darkest chapter of the series yet.

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Hawaiian Heaven

If you think the ukulele is a gadget, a novelty instrument for children, get ready to be blown away. Hawaiians love the instrument, and Taimane is one of its greatest exponents. Don't miss her in concerts in Paris and Brittany.

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Introducing....

Nous sommes heureux de vous présenter notre nouvelle méthode d’anglais pour le lycée.

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Sélection culturelle

A Canine Sergeant

Stubby, a stray dog, became the mascot of an American regiment in World War I and accompanied the soldiers so steadfastly that he was given the rank of Sergeant. A new animated feature brings this true story to life.

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Rendez-vous

Australian Election Turnaround

Australia’s Liberal National Coalition has scored a surprise victory in the federal election called by Liberal Party Prime Minister Scott Morrison.

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Sélection culturelle

Talk in English: World War I Poets

Why did the First World War inspire so many combatants to write poetry? And what effect does the work of poets like Wilfred Owen, Siegfried Sassoon or Rupert Brooke have on our vision of that war today? Author Simon Davies will address these questions in a public talk at the British Council Paris on 6 June.

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Rendez-vous

The Election that wasn’t Supposed to Happen

Voting in the European Parliamentary elections started on 23 May in the Netherlands and the UK — where the elections weren’t supposed to take place at all. One more chapter in the chaos of Brexit.

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Rendez-vous

Voting in the World’s Biggest Democracy

After six weeks of voting, the results were as rapid as they were clear: Prime Minister Narendra Modi’s Hindu Nationalist party, BJP, returned to power with a landslide victory in India's elections

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Indigenous Rap: Young Australian of the Year

This year’s Young Australian of the Year is Danzal Baker, alias Baker Boy, a 22-year-old Indigenous Australian who raps in three languages. As well as achieving success in rap, dance and graffiti, Baker mentors Indigenous youth to help them achieve their dreams.

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Sélection culturelle

Zombies, Loach, Tarantino and Elton John at Cannes

The subjects covered by the films in the main competition at this year’s Cannes Festival are very varied. The English-language competitors are a case in point, ranging from zombies in small town America to washed-up actors in Hollywood, to an indictment of the gig economy in the UK.

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Eating Your Greens

National Vegetarian Week is taking place from 13 to 19 May in the UK, encouraging people to move towards a plant-based diet for their health and the planet’s.

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Going Vegetarian Videos

For National Vegetarian Week, Britain’s Vegetarian Society has created three short videos about going vegetarian, or at least trying to eat less meat and fish. The three 1-minute videos would make a great class group activity, with each group watching a video about eating less meat to help the environment, improve their health, or to support animal rights.

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Dire les petites et les grandes violences - Entretien avec Jerôme Ferrari

Propos recueillis par Claire Belin-Bourgeois et Françoise Rio Si l’œuvre romanesque de Jérôme Ferrari a évolué depuis Le Sermon sur la chute de Rome , couronné par le prix Goncourt en 2012, on retrouve dans ses onze romans publiés chez Actes Sud un même ancrage en Corse, une écriture ardente, une douloureuse interrogation sur les violences de l’Histoire récente. Jérôme Ferrari vit en Corse et enseigne la philosophie en classe de terminale dans un lycée d’Ajaccio et en hypokhâgne à Bastia. Votre dernier roman, À son image , met en scène un prêtre qui célèbre l’office funèbre de sa filleule, jeune photographe morte dans un accident de voiture. Comment sont nés ces personnages fictifs ? Tous deux étaient présents dès l’origine du roman, centré sur la question de l’image. Je voulais traiter de la fonction de représentation des images, notamment de la photographie de presse, mais aussi du rôle de l’image dans le développement du catholicisme. Par ailleurs, la question de la théodicée m’intéresse. Néanmoins, je ne peux travailler l’écriture d’un roman à partir de données abstraites, j’ai besoin d’éléments concrets. Ainsi, pour moi qui ne suis pas croyant, il était intéressant de chercher à voir, de l’intérieur, comment un prêtre pouvait aborder ces questions ou leur apporter une solution. Peut-être étais-je aussi sous l’influence, plus ou moins consciente, des romans de Georges Bernanos. Quant au personnage de la jeune femme, il est lié au travail sur le photo-reportage que j’avais fait antérieurement. Je savais d’emblée qu’il y aurait un lien de parenté entre le prêtre et la jeune femme et que la mort de celle-ci serait connue dès le début du roman. Quelle importance a eu, dans la genèse du roman, sa composition en forme de messe funèbre ? Je ne peux commencer à écrire qu’à partir du moment où j’ai trouvé l’agencement général du roman. Pour celui-ci, ce sont les textes rituels, les moments liturgiques, qui résonnent sur l’ensemble des chapitres. Ce qui m’intéresse, c’est la fécondité que l’aspect formel peut avoir sur le fond d’un roman. Il ne s’agit pas, pour moi, d’écrire des textes que je mettrais en forme après. La composition est toujours première. Plusieurs formes de violence se manifestent dans vos romans. S’agit-il de créer des échos entre la violence spécifique à la Corse et d’autres violences, plus lointaines, telles que celles de la guerre en ex-Yougoslavie qui est évoquée dans À son image ? Il faut être précautionneux si l’on parle d’ « échos », car il ne s’agit pas de comparaison entre ces formes de violence, sinon cela génère des contresens de lecture. Ainsi, lors de la parution d’ À son image , certains journalistes m’ont dit que je présentais les nationalistes corses comme des abrutis, ce qui n’est pas du tout mon propos. Je voulais simplement montrer les choses de l’intérieur. Ce qui m’intéresse dans le personnage de la photographe, c’est son aveuglement par rapport à la violence qui l’environne. Le prêtre dit que cette jeune femme ne comprend pas que le péché ne se quantifie pas : je partage assez l’idée que le péché peut se trouver aussi bien dans les petites que dans les grandes choses, et que l’on peut rapprocher les petites et les grandes violences. Comment travaillez-vous l’écriture dans vos différents romans ? Ma manière d’écrire a beaucoup changé depuis mes deux premiers romans. Quand j’ai commencé, j’écrivais vraiment à la ligne, j’écrivais beaucoup et ensuite je reprenais. Plus le temps passe, plus j’écris avec une atroce lenteur, mais j’ai beaucoup moins de choses à modifier par la suite. La lenteur de l’écriture limite mes capacités de transformation, ou alors il faudrait que je casse absolument tout. Toutefois, cela dépend des textes. La première chose qui m’est venue pour écrire Où j’ai laissé mon âme , c’est le ton du personnage qui parle, et qui a entraîné à peu près tout le reste. Il y a certes du travail, mais, avant d’écrire, il faut une mise en condition psychologique ou musicale. Je ne sais pas retravailler un texte après-coup pour lui donner le ton que je voudrais : il faut que je sois dans le ton d’abord. Après, je peux revenir sur les détails du texte, que je relis à voix haute pour en corriger uniquement les éléments rythmiques et euphoniques, ou parfois changer un mot qui ne convient pas. Après quelques romans, j’ai eu l’impression que, devenu trop à l’aise dans un certain style, je courais le risque de l’auto-parodie, comble du ridicule et du tragique. Il y a une forme d’automatisme dans laquelle on risque toujours de se laisser prendre, malgré soi. C’est pourquoi, dans Où j’ai laissé mon âme , notamment, j’ai voulu changer de manière d’écrire sans avoir pour autant l’intention d’entreprendre une révolution stylistique à la Romain Gary. J’avais seulement besoin de passer à quelque chose qui me soit un peu moins familier. J’ai aussi opéré ce genre de changement en écrivant Dans le secret , ou Un dieu, un animal , mon cinquième roman. On évoque souvent le « pessimisme » ou la « vision sombre » qui émaneraient de vos romans. Cautionnez-vous ces qualifications ? Je ne me sens pas particulièrement pessimiste. L’optimisme et le pessimisme ne sont pas des catégories qui me conviennent car je ne les trouve guère pertinentes. Je souscris volontiers à la phrase de Bernanos dans les Grands cimetières sous la lune qui voit en l’optimisme une forme de sécheresse du cœur : « L’optimisme m’est toujours apparu comme l’alibi sournois des égoïstes, soucieux de dissimuler leur chronique satisfaction d’eux-mêmes. Ils sont optimistes pour se dispenser d’avoir pitié des hommes, de leur malheur ». Aujourd’hui, l’ambiance sociale tend à valoriser l’optimisme, par exemple lors de ces séminaires d’entreprises où l’on vous explique comment surmonter ses échecs pour se renforcer soi-même. Il y a derrière cela une idéologie qui me paraît immonde, consistant à dire que chacun est responsable de ses échecs, que, si on ne va pas bien, ce serait faute d’avoir bien pris les choses … etc. Or, le monde est comme il est, cela relève du fait et non d’une orientation d’humeur. Et quand on me dit parfois que, dans mes romans, je devrais voir le bon côté des choses, cela m’énerve presque autant que les entendre qualifiés de « romans philosophiques » : réflexions triviales ou absurdes. Pourquoi tous vos romans sont-ils situés en Corse ? C’est l’endroit du monde que je connais le mieux et sur lequel je suis le moins susceptible d’écrire des bêtises. Je trouve que c’est un lieu particulièrement intéressant du point de vue littéraire, pour de multiples raisons, tenant à l’histoire, à la culture, à l’omniprésence de la violence qui marque la géographie. La Corse est en outre, comme un condensé de modernité, un pays qui ne vit que du tourisme de masse, ce qui retentit beaucoup sur la vie de ses habitants : l’alternance brutale du désert et de la frénésie ne laisse pas les gens indemnes. Je suis par ailleurs très sensible à la fantasmagorie de la construction identitaire. Je suis originaire de Fozzano, le village qui a servi de « modèle » à Mérimée pour l’écriture de Colomba , et je trouve intéressant de se réapproprier ces processus qui conduisent à des clichés. Ce qui m’intéressait, auparavant, c’était d’écrire un roman qui se passe en Corse mais qui ne soit pas lu comme un roman régional. C’était un grand problème il y a une quinzaine d’années, quand la question du regard sur la Corse était très déterminée par des représentations figées. Ainsi, je reste persuadé qu’en 2002 Le Sermon sur la chute de Rome (publié en 2012) n’aurait pu avoir le Goncourt. J’en suis sûr, parce que la première fois qu’à la télévision on a parlé d’un de mes romans, c’était sur fond de polyphonies et d’images de plages, qui n’avaient pourtant rien à voir avec le récit en question. En dehors de cet ancrage géographique, avez-vous un sentiment d’appartenance à une communauté ? J’appartiens à plein de choses. Cela ne me dérange pas de penser que mes livres appartiennent à la littérature corse autant qu’à la littérature française. J’ai par ailleurs des liens intellectuels étroits avec Marcu Biancarelli dont j’ai traduit en français les livres écrits en corse, ou avec Thierry de Peretti, le réalisateur d’ Une vie violente . On a tous à peu près le même âge, ce qui n’est pas un hasard, on a commencé en même temps, on a vécu les mêmes choses, et on y a réagi de manière esthétique de façon assez similaire, sans doute. Mais je ne vois pas ce qui pourrait faire de nous un groupe, et je nous imagine mal écrire un manifeste.

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Sélection culturelle

To Kill a Mockingbird: Adapting to Film

Adapting a scene from a book as a film scene, or a film scene as prose, is an excellent English-learning exercise. To see how the experts do it, a talk at the American Library in Paris analyses the adaptation of one of America’s classic books into one of its classic films. Judith Merians, Hollywood executive and film professor, will analyse the film adaptation of To Kill a Mockingbird , the classic coming-of-age story and examination of race relations in the U.S.A. As well as an overview, she will juxtapose specific scenes from the book with their film versions. Harper Lee won the 1961 Pulitzer Prize for fiction with her story set in 1930s, Depression era Alabama. It is told from the point of view of a little girl, Scout Finch, who observes the drama play out when her lawyer father Atticus defends Tom Robinson, a black man, who is accused of raping a white woman. The novel was adapted as a film the following year, directed by Robert Mulligan and starring Gregory Peck as Atticus. The film won four Oscars, including best actor and best screenplay. Lee was born in 1926 in Monroeville, Alabama. She retired from public life in 1964. To Kill a Mockingbird was her only published novel until the publication of a follow-up, Go Set a Watchman , in 2015, less than a year before her death. This book was actually written before Mockingbird, a sort of first draft of the classic novel, but the Scout narrator is an adult. To Kill a Mockingbird is widely taught in U.S. schools and universities. It was voted America’s favourite novel in a 2018 competition organised by PBS. A theatre adaptation is currently on Broadway. The photo above shows stars Jeff Daniels and Gbenga Akinnagbe as Atticus Finch and Tom Robinson.   A Night at the Movies with Judith Merians: To Kill A Mockingbird Wednesday 22 May at 7.30 p.m. American Library in Paris Free

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Rendez-vous

It's a Boy!

Britain is celebrating a new royal baby, as Prince Harry and Meghan Markle announced the birth of their son on 6 May 2019. The British capital decided to have babies welcome the baby.

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La semaine des langues 2019

The fourth edition of the Semaine des Langues is taking place from 13 to 18 May. This year’s theme, like last year’s, is “Let’s Share Languages”.

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